Les mesures "sanitaires" qui sont imposées au peuple depuis plus d'un an sont avant tout politiques. Au Québec et ailleurs, les élites politiques et médiatiques livrent une sorte de guerre psychologique à la population à coups de règlements coercitifs qui ne sont souvent pas sans incohérences. L'apparente dichotomie entre les données officielles de la santé publique et l'alarmisme du discours médiatique a eu de quoi laisser perplexe.
Comment expliquer ce que nous vivons?
La majorité des dirigeants politiques des pays occidentaux sont avant tout de simples administrateurs - et non des gens d'idées. Ce sont des gérants qui appliquent les suggestions, voire les directives, des grands acteurs financiers et des plus grosses multinationales: c'est-à-dire de l'oligarchie globaliste, si on veut la désigner ainsi.
D'un petit dirigeant provincial comme François Legault à la présidente de la Commission Européenne Ursula von der Leyen, les dirigeants politiques sont majoritairement voués au parachèvement du mondialisme, dont la phase actuelle se nomme "Great Reset" [ou Grande Réinitialisation]. Les exceptions, comme le gouverneur Ron DeSantis en Floride, sont rares.
Il suffit de s'intéresser aux publications du Forum Économique Mondial [dont le livre intitulé "COVID-19 - Grande Réinitialisation", co-écrit par son directeur Klaus Schwab] pour comprendre que cette crise sanitaire est instrumentalisée afin d'instaurer un changement de paradigme au niveau mondial. Ce "Great Reset" est un projet de planification économique et sociale qui doit servir de guide aux grands investisseurs, aux chefs d'entreprises et aux dirigeants politiques. On y annonce un monde géré par l'intelligence artificielle et dominé par la robotisation - mais aussi sous le joug de l'idéologie "woke".
Il y a un an, on se faisait traiter de complotiste pour avoir évoqué l'idée d'un passeport sanitaire. Pourtant, il est désormais question d'un passeport vaccinal qui sera rattaché au traçage de nos déplacements dans un monde saturé par les scanners de codes QR [installés à l'entrée d'établissements de toutes sortes]. Un tel système est déjà effectif en Chine, où il est même relié à une notation de crédit social.
Ce qui nous avertit que du passeport vaccinal vers un passeport "bien-pensant", il n'y a qu'un pas à franchir. Le "Great Reset" repose sur l'imposition d'un politiquement correct, dans sa forme la plus aboutie. S'appuyant sur le principe du capitalisme des parties prenantes et les critères ESG, il ouvre grand la porte à l'imposition des dictats de la culture "woke". Se préoccupant [entre autres] de savoir si les administrateurs et dirigeants constituent un groupe "diversifié et inclusif", le système de notation ESG va contraindre les entreprises à se soumettre au régime "diversitaire" par crainte de perdre des opportunités d'investissements ou d'exclusion.
Les promoteurs de ce "Great Reset" n'ont que les mots "équité" et "inclusion" en bouche. Attention: avec l'inversion du réel caractéristique du néo-progressisme "woke", qui dit "inclusion", dit en fait: bannissement de ceux qui ne soumettent pas à la doxa du politiquement correct. Cette "inclusion" conduit directement à la censure, voire à l'exclusion.
S'appuyant sur la 4ème révolution industrielle, le "Great Reset" annonce un totalitarisme mondial issu de la consommation du mariage de l'élite corporatiste globaliste occidentale et du Parti Communiste Chinois. Nous sommes en train d'assister à un "coup" mondial insidieux qui vise à asservir l'humanité toute entière avec une technologie de pointe.
La République
Populaire de Chine est la plus importante dictature de l'histoire de l'humanité
[en nombre de sujets]. Elle est aussi devenue la plus puissante économiquement,
et celle qui dispose de la technologie la plus avancée. Vous ne trouvez pas que
ça pue le Parti Communiste Chinois depuis un an?