Une enseignante témoigne - Histoire d'horreur d'une islamisation obligée.

Par: Marco Leclerc

L'histoire se passe il y a un mois, à Montréal.

Une enseignante, qui submergée depuis par les problèmes désire garder l'anonymat, remarque qu'une fillette de 10 ans arrive à l'école soudainement voilée à la mode islamiste.

Notons ici que le voile islamique, en plus de souligner l'infériorité et la soumission de la femme à son mari, a pour fonction de dérober le corps des femmes aux regards des hommes qui seraient incapables de contrôler leurs pulsions sexuelles.

Plusieurs pieux musulmans considèrent que la femme non-voilée ne demande qu'à être violée de par son manque de pudeur. La salope ose exhiber ses cheveux. Constamment en rut, les mahométans préfèrent que les femmes se cachent. Il paraît que ça aide les servants d'allah à contrôler leurs quéquettes. Il faut saluer le génie islamiste. Un niqab, ça tient une libido tranquille.

Dans les républiques islamiques, les pauvres femmes victimes de viol sont ensuite condamnées à mort par lapidation pour avoir eu des relations sexuelles hors mariage. Ça me parait bien logique. Que la relation soit consentie ou non, c'est dégueulasse de baiser avec une autre personne que son mari.

J'ai quand même eu la surprise d'apprendre par une bande d'étudiants en Sciences Sociales que c'est ici, en Occident, qu'il y a une « culture du viol ».  J'étais content de me coucher moins con cette journée là.

Mais je m'écarte du sujet.

L'affaire Shafia en tête et inquiète, l'enseignante décide d'aller échanger quelques mots avec la jeune fille afin de lui demander si elle a elle-même décidé de porter le voile islamique. Quelle folle idée! Nous savons tous qu'il n'y a aucune pression sur les "sœurs" pour porter le voile religieux dans la communauté musulmane.

Comme l'on pouvait s'y attendre, la jeune fille raconte le tout à ses parents. On comprendra le père offusqué : comment ose-t-on se soucier du bien-être de sa fille? Le fervent servant d'allah téléphone à la direction de l'école et exige que l'enseignante s'excuse auprès de l'élève. Elle a osé s’inquiéter pour elle! C'est impardonnable.

À contre-coeur, la méchante enseignante se rend vers la jeune fille afin de lui présenter ses excuses.

Le lendemain, rebelote : le barbu papa re-contacte la direction et explose (au sens figuré) : cette fois il exige que l'enseignante s'excuse de nouveau mais en sa divine présence!

Scandalisée mais désirant éviter le conflit, la vilaine enseignante se résout à téléphoner au bon papa islamiste :

«  Si j'accepte de vous rencontrer, vous allez me donner la main? »
demande l'enseignante.

«  Non madame, ma religion me l'interdit »
De répondre fermement l'islamiste.

«  Alors je ne désire pas vous rencontrer.  »
Jugeant qu'elle ferait là une trop grosse entrave à ses valeurs. La comédie a assez durée.

Frustré qu'une femme ose lui tenir tête (il faut le comprendre, dans sa religion, la femme vertueuse est obéissante), le mahométan n'en avait pas terminé. Après une plainte à la Commission Scolaire, celle-ci se soumet à la volonté divine et exige que l'enseignante rencontre le père, la fillette, la directrice de l'école ainsi qu'un patron de la C.S. sans quoi elle fera face à des mesures disciplinaires.

Effondrée et paniquée, notre enseignante contacte le syndicat. Après une semaine d'angoisse, elle est soulagée d'apprendre qu'elle n'aura pas à rencontrer le papa islamiste. En échange, elle doit présenter ses excuses à la fillette devant la directrice de l'école.

L'enseignante et la directrice font donc venir la jeune voilée dans le bureau de la directrice et les excuses sont de nouveau présentées. Décidément, s'inquiéter des jeunes élèves est une bien vilaine idée.

« Je n'accepte pas vos excuses et de plus, vous m'avez dérangé dans mes cours. Je n'apprécie pas que la directrice m'appelle durant les classes. » de répondre la jeune radicalisée de 10 ans.

Et moi qui croyais qu'allah était clément et miséricordieux, j'en prend pour mon rhume.

Le gentil et désabusé barbu papa n'en avait pas encore terminé. Profitant d'un climat médiatique et sociale orienté vers la collaboration plus que la résistance, il menace de faire une plainte pour "discrimination" au tribunal des droits de la personne. Et ajoute : « Si ma fille fait une dépression, ce sera de votre faute. » Toujours de la faute des autres, il va de soi.

Voilà le climat dans lequel les enseignants doivent travailler.

À la suite de cette histoire, combien d'autres oseront intervenir face aux fous d'allah?
Combien d'histoires semblables se passent à toutes les semaines dans les écoles du Québec sans que personne n'en parle?

Et la gauche régressive d'applaudir qu'une « raciste » se fasse remettre à sa place.

Et la colère qui continue de monter dans la population.



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